Les EXEMPLES ne manquent pas …

 

dame justice magnesiumMadame … arrive à ma consultation dans un état de psychasthénie marquée.

Elle avait perdu un fils de 20 ans, quatre ans auparavant. Elle était sous antidépresseurs, somnifères, anxiolytiques, etc… Ce qui lui permettaient de « survivre » disait–elle, certes, mais dans quel état !

L’ayant mise sous magnésium  avant l’intervention prévue au fauteuil,  elle me dit se sentir beaucoup mieux.

Je lui proposai  alors de remplacer très progressivement, ce traitement « psuy »,  par du magnésium, (tout en gardant le produit supprimé à portée de mains, si elle en avait besoin). La semaine suivante, elle se sentait nettement mieux… On diminua alors par quart de comprimé, chaque semaine.  Ce fut sans inconvénient.

On supprima donc, par quart de comprimé toutes les semaines, un autre produit…   La patiente me dit se sentir beaucoup mieux ! On supprima un troisième médicament toujours  par quart de comprimé par semaine… Quand elle revint à la consultation suivante,  elle était habillée d’un pantalon rouge et une chemise à jabot de dentelle. Elle était souriante. Elle me dit alors :

« Je me sens très bien… je ne prends plus que le magnésium et je reprends courage… mon fils ne reviendra hélas pas, cela n’enlève rien de mon chagrin, mais je suis maintenant capable de faire face à cette situation douloureuse et je ne me sens plus glisser sur la pente du désespoir ».

Quelques mois plus tard, revenant pour un détartrage elle me raconta que voyant son autre fils, déprimer… elle lui avait fait prendre tout de suite du magnésium, avec un effet tout à fait positif… et que comme elle, il continuait à en prendre très régulièrement.

Et ceci n’est qu’un exemple entre beaucoup d’autres…

Dans le même temps… une amie perd  un fils de 20 ans !

Je la mets  immédiatement sous  pidolate de  magnésium 100 mg (1 comprimé trois fois par jour aux repas).. Elle n’a jamais déprimé… Elle vient de perdre un deuxième enfant… et maintenant, son mari… et sous magnésium, elle ne déprime pas. Ce qui n’enlève rien à sa douleur… mais elle a la force de faire face !

Le pidolate de magnésium accéléant à la longue, son transit, nous sommes passé  au manésium amino-chélaté.

Monsieur … horticulteur de son état, était tombé en grave dépression à la suite d’un important choc affectif :

Il prenait, antidépresseurs,  anxiolytiques, somnifères… Il me consulte pour un accident de dent de sagesse. Après bilan préopératoire coutumier, je lui demande de prendre du magnésium, pour ne pas risquer une crise de tétanie au fauteuil, sans plus d’explications. L’intervention se passe bien… Il me dit alors :

« Depuis que je suis sous magnésium je me sens beaucoup mieux… Est-ce que je peux continuer ? »

Nous diminuâmes progressivement, par quart de comprimés chaque semaine, les anxiolytiques, antidépresseurs, somnifères…  Le patient se sentait de mieux en mieux.

Quelques mois plus tard,  dans le hall du RER de Juvisy, j’entends un appel retentissant : «Madame Poniatovsky !» (Ce n’était pas tout à fait mon nom, mais je pensai bien que c’était pour moi) !  Je me retourne et vois mon horticulteur hilare, me criant :

« Depuis que je prends du magnésium, je vais très, très bien !  Je suis heureux. »

Cela ne s’invente pas.

Madame… vient à ma consultation pour une alvéolectomie.

Elle se présente d’une manière très agressive, avec des mouvements brutaux. Après bilan préopératoire habituel, vu son état d’agressivité, je prescris du magnésium, pendant quinze jours avant l’intervention… À ma grande surprise, elle refuse catégoriquement ! Je lui explique que je ne pourrai pas l’opérer si elle ne prend pas le magnésium, afin d’éviter tout risque de crise de tétanie au fauteuil… Après un long débat et beaucoup de psychologie, je réussis à lui faire accepter le fait.

Quinze jours plus tard, elle arrive à la consultation en vue de la petite intervention. Elle était  exquise, le sourire aux lèvres, et me dit :

« Vous savez, depuis que je prends du magnésium,  je dors beaucoup mieux, je ne grince plus des dents » et sur un ton un peu canaille  elle ajoute,  « je n’ai plus envie de jeter mon gendre par la fenêtre… Est-ce que je peux continuer à en prendre ? »  CQFD

Un patient m’est envoyé pour un détartrage.

Il était quelque peu excité et se plaignait de douleurs insupportables de la nuque et des épaules, ce pourquoi on lui avait prescrit la panoplie habituelle : décontracturants et  antidépresseurs !

Je pensai tout de suite à des crises de tétanie atypiques au niveau des trapèzes, et des muscles de la nuque. Je lui prescris du magnésium.

Le résultat a été spectaculaire ! Les muscles se sont décontracturés   très rapidement. Ce patient trop heureux de ne plus souffrir, criait « au miracle » !  Et il ajouta « maintenant, je suis beaucoup moins boulimique en chocolat ».

Un jeune homme... arrive à ma consultation au bord des larmes, le visage défait et désemparé.

Il m’explique, au bord des larmes  :

« Je suis au chômage…  je cherche… je ne trouve pas de travail… »

Prévoyant une « opération à lambeaux » et devant son état, toujours dans la crainte de le voir faire une crise de tétanie au fauteuil, je le mets sous magnésium. La semaine suivante,  il arrive, souriant et détendu.  Je lui dis alors :
« Ah! Je vois que ous avez trouvé du travail, je suis contente pour vous… »
« Moi ? Pas du tout, mais maintenant, je m’en fous (sic) ! Je cherche, je finirai bien par trouver ! »

Encore une fois, ela ne s’invente pas !

Une patiente que je suivais pour un entretien de la bouche et des dents,

se plaignait de se sentir mal dans sa peau, fatiguée, dormant mal, irritable…

Je lui propose donc de prendre du magnésium,  plutôt qu’un antidépresseur, comme cela lui avait été suggéré.
Elle revient quelques semaines plus tard, enchantée, se sentant beaucoup mieux, elle revivait normalement !

Au centre de Santé où je travaillais…

Une bonne dizaine d’employées (assistantes, caissières, agents de la Sécu, etc…), faisaient des malaises à répétition, traitées  par du « valium »,  dont elles ressortaient totalement abruties… Ce qui entraînait  des  arrêts de travail, à répétition,  de plusieurs jours !

Devant le caractère de leurs malaises,  je réussis à les convaincre de prendre du magnésium, plutôt que le valium… L’effet ne se fit pas attendre !

Toutes retrouvèrent un bien-être immédiat, un rythme de vie  normal… Fini  la déprime, fini les malaises, les arrêts de travail,  etc…

« Si j’avais su plus tôt »  me disaient-elles.  

Tout,  peut être vérifié dans les archives des dossiers  du Centre Municipal de Santé où j’exerçai.

Une amie de jeunesse, subit un traumatisme dans son adolescence, qui la marqua à vie !

Vingt ans après, elle  était devenue, parait-il,  de plus en plus déprimée, se réfugiant dans le noir chez elle, buvant,  très agressive avec tout le monde… Par hasard, je la retrouvai cet été chez sa cousine, où je passais une semaine… Elle vint me saluer. Elle était  dans un état  déplorable, le visage défait, au bord des larmes, très agressive, elle avait sûrement bu… Je lui donnai immédiatement une ampoule  de pidolate de magnésium… Dans la demi-heure qui a suivi, elle devint nettement  plus calme, plus souriante, moins agressive, c’était spectaculaire ! Je lui demandai d’en prendre régulièrement, trois fois par jour. avec les précautions d’usage…
À la fin de la semaine, avant mon départ, elle prépara un  dîner chez elle (une douzaine de personnes), elle était souriante, enjouée…

Ce ne sont que quelques cas parmi des quantités d’autres…

Et aujourd’hui encore, les amis ou relations,  à qui je conseille le magnésium, parce que fatigués ou surmenés ou déprimés ou insomniaques ou constipés, ou ayant subi un choc affectif, etc…  ne tarissent pas de satisfaction !

Je conseille toujours  de faire un bilan de sécurité et de consulter l’article « Précautions et contre-indictions »